Éphémère II, 1996 – 2000

Traditionnellement, la photographie sert à valoriser un personnage important, à relater un événement. N’étant pas reporter, je photographie des éléments sans importance, dérisoires, fragiles, éphémères.
Je photographie « rien » et non content de ne rien photographier, j’ai choisi de restreindre le champ de netteté, de jouer de la confusion des plans pour finalement laisser place à la poésie.

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